Bienvenue à l‘Académie Cross, incarne un vampire ou un humain et viens vite nous rejoindre. Seras-tu la prochaine légende ? |
| | Thomas B. Ashida | |
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| Sujet: Thomas B. Ashida Sam 27 Fév - 21:18 | |
| Je suis Blackwall Ashida Thomas ♪Informations de base sur moi ♪ • Age : 26 ans • Sexe : masculin • Groupe : professeur d'histoire, hunter. • Orientation Sexuelle : Hétéro • Rêve : • Peur :
Mon physique ♪
(5 lignes minimum) En cours pour le 6 mars TEXTE Mon caractère ♪(5 lignes minimum) en cours pour le 6 mars TEXTE Mon histoire ♪4/6 Partie 1 " Tout ce qui ne reviendra jamais "- Spoiler:
Les cris d'un nouveau né rententirent entre les murs de la grange, la sage femme poussa un grand soupir de soulagement. Dans ce petit village, la nouvelle technologie n'a pas sa place et pourtant dans certains cas comme la médecine il serait préférable de s'adapter. Mais les moyens financier ne le permettrait jamais, les villageois vivaient de leurs propres cultures et élevage, un endroit figé dans les méthodes passées. Il y avait bien un hôpital, une modeste bâtisse qui n'avait qu'une chambre de deux lits pour les cas de soins intensifs, elle confectionnait elle même leur remède à l'aide de plantes médicinales. Le village étant petit, d'à peine 214 habitants les sages femmes se déplacaient elle même afin de porter leur aide à même le foyer du patient. Celle qui mit au monde le petit Thomas s'appelait Cornaline et celle-ci avait des doigts de fées. Âgée de 56 ans, elle est celle qui s'occupe de la majorité des accouchements, et tout ceux d'en dessous de la trentaine avait été majoritairement mis au monde par la sage femme Cornaline. La mère même de Thomas est née à l'aide de cette sage femme. A présent, elle l'aidait à mettre au monde son petit garçon.
Dans ce charmant village aux creux des montagnes et dont les vallées s'étendent à des kilomètres, il y avait deux chemins pour rejoindre la ville ; le plus long était celui où on devait traverser la rivière, on rejoignait la ville du Sud qui se trouvait à 12 kilomètres. L'autre menait donc à la ville du Nord à 8 kilomètres, il fallait passer par un chemin sinueux dans les montagnes avant de rejoindre les collines. C'est pour cette raison que le village est devenu indépendant, et quelques fois descendent dans la ville du Sud pour vendre le surplus de leur récolte ou des objets travaillait par Gilbert, un homme qui confectionnait les plus beaux bijoux, son savoir faire était réputé dans la ville du Sud. Quant à celle du Nord, jamais ils n'y sont allés. Paraît-il qu'il y aurait un grand arbre où les hommes les plus désespérés allaient se pendre et hanteraient les lieux. Les villageois très croyant n'ont jamais voulu s'y aventurer.
Thomas grandit jusqu'à l'âge de cinq ans, seul. A partir de là, la petite Violette fit son apparition dans la famille, une jolie petite fille aux joues rondes et rosées. Ils vivaient heureux, Thomas aida son père dans les terres à partir de huit ans, il apprit même à pêcher. Ils allaient à l'école du village, dirigé par le maire Julyan Hale. Une vie paisible et heureuse.
15 juillet. Thomas 13 ans, Violette 8 ans.
" Je me levai d'un bond, enfilai aussi vite un short, des tongs et un simple tee-shirt noir et descendit les escaliers en toute hâte. Je m'apprêtai à sortir lorsque maman me retint par le bras avec un grand sourire chaleureux comme elle sait si bien le faire, je ne l'ai jamais vu triste, en colère oui et c'est une vraie bombe ! Mais triste jamais. Sauf quand je me dispute avec elle, je vois ses yeux brillé et je me demande si elle a envie de pleurer. -Joyeux anniversaire Thom ! Elle me prit dans ses bras, je la remerciai et lui fit un grand sourire. Elle avait préparé la table avec un grand bol de chocolat chaud, elle sait que j'adore ça malgré la température suffocante qu'offre l'été dans les montagnes, accompagné d'un pain frais datant certainement du matin même et de la confiture. A côté, une petite boite fermé à l'aide de ficelle et une lettre juste à côté. Je me doutais qu'elle m'attendait depuis longtemps, et je décidai que mes copains m'attendraient encore un peu. Je m'installai à côté d'elle à la table de cuisine éclairé par une grande fenêtre de là, on voyait les rues pavés à l'ancienne et la petite place où régnait en maître un grand saule pleureur et des bancs. J'entendis Violette descendre l'escalier bruyamment, ses longs cheveux noirs en bataille et ses petits yeux gris encore ensommeillé encadré de petites cernes légèrement bleuâtre. Elle n'avait pas beaucoup dormi. Habillé d'une petite robe jaune fleuri et de sandale en cuir et à la main un paquet enveloppé de la même manière que celle à ma droite. -Bon anniversaire. Dit elle en bougonnant. Lorsqu'elle vient de se réveiller, elle ne parle jamais et si on lui parle, ça l'énerve. Je lui fis la bise et la remercia, sachant que pour elle il lui fallu un grand effort pour ouvrir la bouche dès son réveil pour des paroles amicales. Elle plaça le paquet à ma gauche et s'installa en face de moi et commençait déjà à prendre son petit déjeuner. Elle s'arrêta brusquement et me fixa en déclarant ; -Tu comptes les ouvrir quand ? Maman rit, ça devait bien faire vingt minutes qu'à part remercier et observé je n'avais rien fait, mais je trépignais d'impatience de retrouver mes copains à l'orée du petit bosquet. J'ouvris celui de ma mère en premier et évidement je me doutai celui de mon père aussi qui quant à lui était déjà parti aider au champs. Je pris la lettre et la mit dans ma poche, voulant la lire lorsque je serais seul. A l'intérieur de la boite se trouvait une bague, une chevalière pour être exacte, elle était en argent orné de nos initiales, de mes initiales "T.B" écrit avec les anciennes lettres. Elle savait à quel point j'étais émerveillé devant les chevalières que porte les hommes de familles, et même si je ne suis pas encore un homme de famille j'en avais une. Je la plaça sur mon annulaire, cependant elle était encore trop grande, je la mis au pouce. -Tu vas encore grandir, Gilbert nous a conseillé de confectionner une bague un peu plus grande que ton tour de doigt actuel pour que tu puisses toujours la porter à l'avenir. Je me doutai que Gilbert l'avait confectionnait, il y avait énormément de finesse dans les détails de la bague. J'ai toujours admiré le travail de Gilbert, et je voulais faire de même et pourtant, comme cet homme est cru il m'a dit "Tu es bien trop gauche pour faire ce travail." Il n'est pas du genre à tourner autour du pot, lorsque je lui ai dit que je voulais faire comme lui plus tard c'est ce qu'il m'a répondu. Mais quel gentil homme ! Je l'admire presque autant que j'admire mon père. J'ouvris ensuite celui de ma soeur dans lequel se trouvait une peluche tissait grossièrement, qui ressemblait plus à une poupée vaudou qu'autre chose. La peluche faite de tissus, une bouche en fil noir, des yeux en boutons de veste que je ne reconnaissais que trop bien. Je souris, elle avait rajouté des fils épais qui représentaient mes cheveux en bataille. -Je vois où sont passés les boutons de ma veste. Elle rougit et détourna le regard en grommelant. Je posai ma main sur ses cheveux et les secouait affectueusement et lui fit une bise. -Merci. Elle se leva et quitta la pièce, elle était du genre à cacher ses émotions, à ne montrer qu'indifférence, et lorsqu'une petite pointe de joie apparaissait elle allait s'enfermer. Maman dit que c'est son petit côté autiste. C'était une simple peluche mais je ressentit déjà une grande fierté de l'avoir. On toqua à la porte, maman est parti ouvrir et quelques secondes après déboulent Teo, Pete et Lucie. -Bonjour madame Blackwall ! Dirent-ils en coeur. Ils se tournèrent ensuite vers moi et me souhaitèrent un joyeux anniversaire. -Tu nous as fait faux bonds ! S'exclame Lucie avec un grand sourire. Mais on te pardonne, tu viens ? Je fis un regard de pitié à ma mère, elle rit de bon coeur et me laissa sortir. Je laissai la peluche sur le côté du plan de travail et sortit avec mes amis. Teo avait les yeux rivés sur ma bague, lui aussi rêvait d'en avoir une, je lui fis un grand sourire fier face à ses yeux jaloux. Teo est mon meilleur ami, sa maman Moniqua et la mienne sont de grandes amies, de ce fait on a passé le plus clair de notre temps ensemble. C'est un petit garçon svelte et roux, le visage remplis de tâches de rousseur et de grands yeux verts, un visage fin et long encadré par des boucles rousses. Ses cheveux allaient jusqu'à sa nuque. On a à peu près les mêmes goûts, on a tout partagé ensemble et nous nous considérons comme des frères. Il est toujours joyeux, souriant et dynamique. Dans notre petite classe il est le comique, celui qui fait toujours rire de bon coeur. Pete est du genre beau garçon, cheveux bruns, plutôt grand pour un garçon de 14 ans, il est plus âgé de 9 mois. Il a des épaules droites et une carrure plutôt imposante pour un jeune, il me dépasse d'au moins deux têtes ! Quant à lui, il n'est pas le comique de la classe mais plutôt celui que les filles apprécient le plus. Il est gentil, doux... Blabla ! C'est du n'importe quoi ce qu'elles croient, je l'adore mais il est loin d'être doux ! Gentil certainement pas autant que Teo, il est plus sournois et très indépendant. Je n'ai jamais rien dit à personne, mais je l'ai toujours admiré autant que j'en suis jaloux. Sa maman est tombée enceinte de lui à quinze ans, ce qui n'est pas forcément bien vu dans notre village de grands catholiques mais en plus il a fallu quatre ans pour que son père prenne ses responsabilités et le reconnaisse comme son fils, lui même marié à Laeticia et a une fille Juliette. C'était pour eux une honte et il a fallu un an pour qu'elle lui pardonne étant donné qu'ils étaient déjà marié. Il était âgé de 21 ans, et il dit que ça n'allait pas avec Laeticia, qu'il avait accepté de l'épouser car il l'avait mis enceinte. Qu'il ne l'aimait pas vraiment. Il dit que l'amour est venu après quelques années, grâce à Juliette, le remords le rongeait, et il a tout avoué. Il n'a jamais considéré sa tromperie avec Lizzie la maman de Pete comme une erreur. Il n'en démords pas, Pete est né d'une passion commune et non d'une vulgaire accouplement sans signification. Pete croit toujours qu'il aime sa mère, ce qui est possible, mais il a l'air tellement heureux avec Laeticia maintenant que j'en doute un peu. Il n'a jamais pardonné le fait que son père est mis sa mère dans une position délicate, renié par la majorité du village du fait qu'elle devait l'élever seule et à quinze ans. Il passe cependant au dessus, car Lizzie lui dit toujours que son père est un homme bon et que lui aussi se trouvait dans une position délicate. Il habite chez sa mère mais passe parfois des journées avec son père et Juliette. Je l'admire car quand il en parle, il fait preuve de tant d'indifférence, et ça pour chaque sujet qui lui fait mal, il prend le dessus et en parle comme ci cela lui était égal. Alors que c'est tout le contraire, et je le sais car je le vois dans ses yeux, et surtout grâce à Lizzie qui une fois m'a raconté ses réels peine. Je ne l'aimais pas à ce moment là, il faisait preuve de trop de fierté, d'indifférence, il se prenait de haut. Après, j'ai appris à comprendre que ce n'est qu'une façade, une espèce de carapace. Moi, je n'ai jamais réussis à être indifférent sur ce qui me fait mal, je n'ai jamais réussi à être fort. Je suis jaloux de lui car sans effort, il a réussi à avoir les beaux yeux de Mina sur lui, et lui s'en contre fiche. Mina est âgée de quinze ans et c'est la plus belle fille que je n'ai jamais vu, elle a de jolie boucle blonde tombant jusqu'à ses reins, elle est grande et elle est si fine, une petite poitrine et des yeux de biches aussi clair que la rivière bordant notre village. Des doigts délicats, un sourire d'ange et une voix douce. Elle est pour moi la plus belle fille qui soit dans ce village, Pete n'est pas d'accord avec moi. Il dit qu'elle n'a aucune forme, il préfère Zoé, la jolie Zoé aux cheveux bruns et lisses lui tombant sur les épaules, à quatorze ans elle a déjà des formes pulpeuses, de courtes jambes et une peau légèrement hâlé. Des yeux bruns, des lèvres pulpeuses et des joues rondes. Elle n'a rien à voir avec ma Mina, ma belle Mina. Lucie est toute petite, âgée de 12 ans, elle a encore un corps de petite fille et ressemble plus à une jolie petite poupée qu'à une belle femme. Elle a des cheveux blonds courts à la garçonne, un visage pâle, de grands yeux bleus brillants, des tâches de rousseurs sur les joues et est plate comme une planche à pain. Je l'adore, elle est gentille et si drôle. Elle est casse cou et totalement hors de contrôle. Lucie est têtue, elle est celle que je préfère de toute celle que je connaisse, après ma belle Mina.
Si j'avais su que j'allais tous les perdre.
Partie 2 " Le massacre "
- Spoiler:
Thomas était sur le point de rentrer chez lui quand il vit son maître accueillir des visiteurs... Ils se font si rare, Thomas n'a jamais vu de personnes étrangères dans ce village. Par curiosité il s'approchait l'air de rien. Il n'arrivait pas à entendre ce dont il parlait, il vit cependant le groupes constitués de cinq hommes habillé comme à l'armé sauf qu'il ne portait aucun blason, rien qui ne les reliés à une patrie. Un de ceux-ci se tourna vers le petit garçon, son souffle se coupa face au visage dur de cet homme. Une grande cicatrice prenait toute sa joue gauche, les yeux ardents de haine, une bouche fine et crispé. De peur, Thomas courut jusqu'à chez Teo qui est son voisin, salua ses parents poliment et repris sa course folle jusqu'à la chambre de son meilleur ami. -Salut, qu'est ce que tu ... Thomas lui coupa la parole d'un geste de la main et l'emmenait à la fenêtre au dessus de son lit avec vu sur la place. -Il y a des hommes étranges qui parle au maître. Ils sont bizarres ! Teo rit, Thomas ne comprenait pas, furieux que son ami se moque de lui. -Tu ne me crois pas ? Il arrêta de rire et fixa son meilleur ami dont les yeux brillaient de folie. -Qu'est ce qui te fait penser qu'ils sont bizarres ? C'est si rare qu'on est des visiteurs, tu n'aurais pas peur des inconnus ? Il est vrai que des inconnus, il n'en a jamais vu. Mais il était sûr que ce n'était pas la peur de l'inconnu mais bien quelque chose qui émane de ses hommes qui lui faisait peur. -Non je te jure, ils ont une tenue militaire et pourtant ils n'ont aucune insigne les reliant à une patrie, l'un a des yeux pleins de haines, je te le dis ils sont étranges ! Il rit de plus bel face à la psychose de son cher frère de coeur. -Ils sont surtout étrangers d'ici ! Il haussa les épaules et pria Thom de s'asseoir, il sentait bien que son ami avait peur. Mais il sait aussi que ce garçon est possessif, n'aime pas l'inconnu, vulnérable et fragile. Lorsqu'ils étaient petits, c'était lui qui devait réconforter son grand ami lorsqu'il voyait une araignée afin de le rassurer qu'une petite bête ne mange pas une grosse, que le forgeron n'est pas un monstre de feu juste un brave homme travaillant à la sueur de son front, que rien ne pourrait lui faire de mal tant qu'il était dans le village. Il était le pilier de son ami qui tentait tant bien que mal de cacher ses nombreuses faiblesses. -Je te le jure crois-moi... Dit-il désespérément. Il secoua la tête. -Ce sont juste des personnes peut être égaré ou qui ont vu le village et vu que la nuit est proche ont voulu faire une halte ici. Rassures-toi rien de mal n'arrivera, rentres à la maison et dors. Retrouves moi demain matin devant le saule et tu verras on serra tous toujours là et les étrangers seront peut être parti ou nous aurons peut être l'occasion de faire connaissance ainsi tu verras qu'ils ne sont pas méchants. Les mots de son ami l'apaisèrent, il fit ce qu'il dit, rentra chez lui. Il prit la peluche que lui avait offert sa soeur qui était une fierté ce matin et ce soir une honte. Sa soeur de huit ans et beaucoup plus forte que lui. Cette peluche le lui rappelait de l'écart qui se trouvait entre lui, petit garçon faible et tous les villageois courageux. Certes, il savait travailler au champs et pêcher, mais ce n'est pas comparable avec les braves personnes de ce villages. Sa mère vient lui faire une bise et lui souhaité une bonne nuit, elle vit cependant une lueur de peur dans ses yeux qui était revenu à la seconde où il avait quitté son copain. -Que se passe-t-il chéri ? Il gloussa, et tenta tant bien que mal de dire qu'il n'y avait rien sa mère secoua la tête peinée. Il lui raconta ensuite avec un pincement au coeur ses craintes. -C'est donc ça ! Ne t'inquiète pas, il est vrai que nous avons que peu de visiteur mais comme l'a dit Teo ce ne sont que des hommes qui font une halte. Il est trop tard pour qu'on aille leur souhaité une bonne soirée et ainsi te faire voir qu'ils ne font pas si peur que ça mais demain matin s'ils sont encore là on ira ensemble avec ton ami. N'ai pas peur mon ange, rien de mal ne t'arrivera.
Et c'est durant la nuit que les flemmes, la douleur, la tristesse et la désolation fit de grande fumée dans le ciel.
Thomas se réveilla en sursaut, les femmes criaient, des bruits de fusils résonnaient dans les rues du village. Les jambes de Thomas refusait de bouger, crispé par la peur, c'est en serrant la poupée contre lui qu'il prit le courage de posé un pied au sol. A peine fut-il levé qu'il entendit ses parents dans l'escalier. Violette les accompagnait, ils pénétrèrent dans la chambre de Thomas et ils virent ses grands yeux de bronze apeuré, ses membres tremblotant. Son père le prit dans ses bras, mais il eut peu de temps pour l'étreinte et s'empressa d'embrasser le front de son fils, sa mère en fit de même. -Il faut que vous partiez ! Ne prenez pas la route de la montagne ils vous repéreront aussitôt, partez vers le bosquet et traversez la rivière rejoignez la ville la plus proche ! Sa mère avait les yeux remplis de larmes. -Vous partez avec nous ! Dis-je aussitôt. Elle sourit. -J'espère. Ils descendirent l'escalier en tout hâte et se dirigèrent vers la porte de derrière, une ombra passa devant la fenêtre. Il sentit serré dans les bras de sa mère son coeur battre à tout rompre. Son père ordonna de passer par devant, mais ils était barricadés. Sa mère mit Violette dans la petite armoire qui grâce au ciel était assez grande pour contenir la frêle et petite Violette. Elle mit son fils dans un tonneau, elle eut tout juste le temps de se retourner qu'un homme défonça la porte d'un coups de pieds. Thomas voyait à l'aide des trous dans le tonneau, il reconnut aussitôt l'homme qu'il aperçut hier, suivit d'un autre à la mine aussi renfrogné que le premier. Mon père prit la seule arme que nous possédions ; un simple couteau. Il pria aux hommes de partir, à peine avait-il commencé sa phrase qu'une balle filait dans les airs jusqu'à se nicher dans le crâne de l'homme qui l'avait tant aimé. Il dût se mordre la lèvre jusqu'au sang pour ne pas crier, ils entrainèrent sa mère à l'extérieur et fit brûler la maison. Il sortit aussitôt de sa cachette et alla chercher sa soeur qu'il prit dans ses bras. Elles pleuraient devant le corps inerte de leur père, elle était impressionné devant son frère qui pour une fois faisait preuve d'une force dont il n'avait jamais fait preuve. Il se répétait les mots de sa mère et serrer cette peluche dans sa main qu'il donna à sa soeur. C'est ce qui lui donnait sa force. -Quoi qu'il arrive, sauve ta soeur et toi, je te la confie. Elle avait essayait d'ajouter un je t'aime embué de larme mais elle n'eut pas le temps et dû refermer le couvercle du tonneau et se retourner pour faire face à leur bourreaux. Thomas sortit avec Violette dans ses bras et courut jusqu'à l'orée du bosquet, ils se cachèrent derrière un buisson. -Sauve toi et cours aussi vite que possible jusqu'à la ville je te rejoindrais. Elle voulut répondre mais ses pleures l'étouffait. Il la prit dans ses bras et lui fit une bise dans ses cheveux. Elle s'agrippa à lui, son coeur battant si fort qu'elle crut que sa cage thoracique allait finir par céder. La douleur dans sa poitrine était si forte, elle n'en pouvait plus. Thomas ressentait la même chose, la boule à sa gorge qui le menaçait d'éclater à chaque seconde qui passaient. Il sentait sa soeur incapable de marcher ni même de courir. Il prit sa soeur dans ses bras et courut jusqu'à un arbre bien spécial, c'est là où ils sont allé ce matin. Là haut se trouve une petite maison camouflée sous le feuillage de ce grand arbre, c'est pour ça qu'ils l'ont choisi, leur cachette était ainsi bien dissimulé. Il y avait tant de souvenir, toutes leur mauvaises blagues étaient orchestré dans ce domaine, leur après midi qu'ils voulaient sans fin. Une nouvelle peur lui s'abattit sur lui comme un coup de couteau dans le ventre, et ses amis ? Qu'étaient-ils ? Teo ? Juliette ? Lucie ? Pete ? Robert, ce garçon dont il ne cessait de se moquer ? Mina, la jolie Mina ? Que sont devenus ses personnes, Lizzie, Laeticia, Julyan, Giblert et toutes ces personnes qui font que ce village vit ? Il secoua la tête, en premier lieu il devait s'assurer de la sécurité de sa chère petite soeur. Il n'y avait pas d'échelle pour monter directement, c'était Lucie l'agile qui grimpait jusqu'à notre cabane et faisait tomber une corde et c'était aussi elle qui restait jusqu'à ce que tout le monde soit en bas pour la remonter et descendre grâce à son agilité. Lucie, était elle seulement vivante ? Il posa Violette au sol et tenta de grimper à l'arbre en vain. Hors d'haleine, il réessaya encore une fois, ses doigts se crispèrent lorsqu'il entendit des hommes rires. -Ah qu'elle était bonne ! -Je ne te le fais pas dire ! Ils rirent encore une fois, l'un d'eux dû s'arrêter car Thomas n'entendit plus le bruit de leur pas. -Je crois que j'ai entendu quelque chose, faut s'assurer qu'il n'y ai pas de rescapé. Ce village est tellement un trou perdu personne ne se rendra compte qu'il a été dévasté. Ils firent une halte, l'oreille à l'affut du moindre bruit. Thomas se tenait tant bien que mal au tronc, priant qu'il soit du bon côté. Il jeta un coup d'oeil furtif à Violette priant pour qu'il ne la trouve pas. Elle avait reculée jusqu'au buisson, on la voyait à peine. C'est ce qui explique le bruit qu'ils ont entendu. -Il n'y a rien, personne n'a pus s'échapper on l'aurait vu avec tout les gamins rassemblés sur la place. -Je ne suis pas sûr. -Bah si ! Il entendit les pas s'approcher, il coupa net sa respiration et ferma les yeux en priant Dieu. Peu à peu, de nouveau, ils s'éloignèrent et le son de leur voix se fit lointaine. Il attendit bien vingt minutes accroché au tronc avant de reprendre son escalade. Une fois en haut, il jeta la corde à Violette qui ne fit aucun mouvement. De panique, il descendit. Sa soeur pleurait en silence. Il s'accroupit, dos à elle, elle monta sur son dos s'agrippant à ses épaules. Il grimpa de nouveau jusqu'à la cabane plus facilement à l'aide de la corde et la remonta une fois en haut. Il fit une bise à Violette. -Je vais venir te chercher. Il sentit son coeur se resserrai lorsqu'il descendit de l'arbre une nouvelle fois, cette fois ci plus pour chercher sa petite soeur mais pour aller chercher ses proches. Il espérait pouvoir revenir la chercher.
Il arrivait de nouveau au seuil du village, les flemmes dévoraient les maisons, les hommes n'étaient pas encore parti, certains faisaient des rondes autour du village, d'autre continuer à jouir de la souffrance de femme violé, d'autre jouissait de la perte d'une vie. Ils n'étaient plus cinq mais un groupe de dix hommes, petit certes mais bien assez pour commettre de tels horreurs. Au milieu du jardin d'enfant, il n'y avait plus ni jeux, ni bancs. A la place, un grand fossé dans lequel s'entassait les corps. Il entendit la voix de se mère, sous l'adrénaline il se mit à courir jusqu'à ce qu'il rejoins l'endroit d'où provenait sa voix, ce qu'il vit lui a suffit pour bannir toutes la peur qu'il ressentait. Sa mère était plaqué contre un mur et rugissait de douleur, elle ne portait plus aucun vêtement. L'homme qu'il avait vu la veille est l'auteur de cet acte, une fois qu'il eut eu ce qu'il voulait il lui trancha la gorge.
Thomas lâcha un cris d'horreur.
Celui-ci se retourna vers lui, il fit un grand sourire, plaça le couteau plein de sang contre sa joue. -Elle était sacrément bonne ta catin de mère. Thomas, de rage, se rua sur l'homme, une haine qu'il n'avait jamais ressenti auparavant s'empara de lui. L'humain est immonde. L'humain est dégueulasse. "Je les haie !" Pour la première fois de sa vie, il se sentait invulnérable, puissant, plein de rage. Ni tristesse ni peur, juste la haine de l'injustice, le désir de vengeance, le besoin de sang. Cette poussée d'adrénaline l'étonnait lui même, faisant des choses qu'il se croyait bien incapable. L'homme ne s'en était pas douté, il évitait ses coups, se disant avoir en face de lui qu'un gamin. Il lui mit un poings dans le dos, tira sa chevelure brutalement, pris son visage d'une main qu'il claqua au sol. Mais ce n'était qu'un gamin. Un humain . Un gamin. Un humain. Un gamin. Ses mots repassaient dans son esprit durant un moment de doute où l'homme le prit par la gorge. Il crut sa vie allait lui échapper des mains. Il pensa à Violette, Violette qui l'attend dans la cabane. A Teo qui peut être le cherchait, à Pete qui devait recherché les quelques vies restantes du villages, à Lucie certainement occupé à sauver tous les animaux dans les maisons, à Laeticia à la recherche de sa fille Juliette parti à le recherche de Yvan le garçon qu'elle aimait bien, la jolie Mina perdue au milieu du désastre. Il se rappela la lettre de sa mère qu'il avait laissé dans la poche de son short qu'il n'aura jamais lu, à la jolie Mina à qu'il n'avouera jamais sa dévotion. Il fermait les yeux, le pire était sa soeur qu'il ne retrouvera jamais. Sa mère morte humilié par un homme sale, son père gisant dans les débris de leur maison en feu. Soudain, un semblant d'espoir renait, il devait voir Violette. Il l'avait promis. Ce n'était qu'un gamin, un gamin qui tue un homme à l'aide la lame souillé du sang de sa mère qu'il mélange à celui de son meurtrier. Il cherchait à tâtons cette lame qu'il avait lâché lorsque sa tête avait heurté le sol, ses doigts l'effleurèrent. Les yeux de l'homme remplis de rage ne voyait que le garçon qui l'avait humilié. Il sourit, lâchant d'une main le garçon, prit la lame et la balança devant ses yeux. -C'est ça que tu cherches petit ? Un sourire sadique naissait sur ses lèvres, tuant le sourire sournois. Il jeta le garçon au sol, un de ses congénères arriva. -Laisse, occupes toi des corps sur la place. Je t'apporte celui là dans un quart d'heure. Il hocha de la tête et fit demi-tour. Il joua avec sa lame, la glissant sur le corps presque nu du garçon en tenue de nuit, juste en slip. Il enfonça sa lame dans sa cuisse, Thomas poussa un cris strident, le poignard quitta sa cuisse, effleura de nouveau son corps, pénétra de nouveau dans la chair de son ventre. Et ensuite pour finir, il bloqua les mains du garçons à l'aide de ses pieds et joua avec la lame sur son visage de jeune garçon. -Tu as un joli minois. Dommage que tu ne sois qu'un con. T'aurais dû partir. Il enfonça sa lame dans son oeil droit, Thomas tremblait, criait, il se débattait tant bien que mal, il en oubliait toutes ses autres douleurs ne pensant qu'à celle de son oeil. Il retira sa lame, heureux de son moment de torture. -Si je te laissais vivant, tu cicatriserais et serais juste aveugle d'un de tes jolis yeux d'or. C'est con, j'me sens pas d'humeur généreuse. Il rit, encore. Son rire résonnait dans sa tête, il voulait abandonner. S'en était fini de toute manière, il n'aurait plus de chocolat chaud le matin, il ne verrait plus sa mère sourire et mourrait avec en mémoire le visage de sa mère en pleure déformé par la douleur et le chagrin. Il se releva, retira ses pieds de ses poignets bleutés. Il rit. Il n'était même pas habillé. Comme c'est drôle, de voir les vies quitté le corps de personnes en tenue de sommeil. C'est ironique car ils retrouveront le sommeil d'une autre manière. Thomas voulut se ressaisir, il ne voulait pas mourir, il ne le voulait pas ! Il se rappelait son oncle vivant dans la ville du Nord, il avait quitté le village pour rejoindre la famille. Car contrairement aux autres, notre famille n'est là que depuis trois générations. Je suis la troisième. Il devait y emmener Violette, il devait la raccompagner auprès de leur famille, dans un endroit calme et paisible pour qu'elle réapprenne à voir le monde dans des yeux émerveillé, et non souillé par le sang.
Partie 3 " L'accusé "
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Thomas ouvrit les yeux lentement, la vue floutée. Il grogna de douleur, il se trouvait toujours au village... Enfin il n'en était pas sûr, tout était noir. Il sentit un visage, froid et dur. Il se trouvait né à né avec son ami Teo. Sauf que lui était mort. Les larmes revinrent rouler sur ses joue, il avait à peine recouvert la vue qu'il voyait Teo. Il comprit qu'il était dans la fosse, il se mit à ramper en dehors, pensant à Violette, elle avait besoin de lui. La fosse n'était pas encore refermé, ce qui voulait dire qu'ils étaient toujours là. Il réussit à ramper jusqu'au saule pleureur, de là, il réussit à se relever en s'agrippant à l'arbre. L'homme à la cicatrice vint vers lui, il l'avait regardé tout le long rampé. -Dis moi, qu'est ce que ça fait de se trouver né à né à un cadavre ? Dit-il en ricanant. Ses dents grincèrent, les congénères de ce monstre allait bientôt arriver. Quoi qu'il fasse, il mourra. De ce fait, il décida qu'il n'allait pas mourir seul. Il sourit, non gaiement, il sourit sarcastiquement. -Et toi, dis-moi qu'est ce que ça t'as fait de te retrouver face contre sol par un gamin de treize ans ? Il rit encore plus bruyamment, ses yeux pleins de haines. -Dis moi pourquoi avez-vous attaqué notre village, nous étions en paix ! Il arrêta de rire, sa mâchoire se crispa, son regard retomba sur les yeux du garçon. -Parce que c'est amusant. T'as pas l'air d'être au courant mais il y a un conflit entre le parrain et nous, vous, vous êtes entre les deux. Nuisance, inutile, vous ne prenez aucun parti, aucun risque. Même dans la mort vous resterez inutile. Ton maire n'a pas voulu en démordre mais vous n'êtes en réalité pas neutre, vous êtes du côté du Parrain dans son traffic illicite. En tentant de nous l'avouer le Parrain a envoyé leurs hommes mettre votre village en feu et en sang. -En réalité c'est surtout un combat entre secte n'est ce pas ? -Entre autre. Thomas se sentit haineux, Julyan aurait-il réellement impliquer le village dans un traffic illicite entre mafieux ou serait-ce seulement la haine entre deux sectes et un groupe d'homme monstrueux ayant du temps à tué ? A tué, c'est le cas de le dire. -Bref gamin assez répondu à tes questions, c'est con je t'aimais bien. Il dégaina son révolver, laissant le poignard coulant de sang dans sa ceinture. Il lui dit à dieu, prêt à appuyer sur la détente. Thomas ressentit l'adrénaline, l'envie de survivre, il donna un coup de poings maladroit à son poignet, assez fort pour lui faire lâcher l'arme. Il se rua dessus, ferma les yeux et tira. D'autres hommes arrivaient, il tiraient, encore, encore. Ne sachant ce qu'il visait. Lorsqu'il rouvrit les yeux, 4 hommes étaient sur le sol. Il en restait six. Il ressentit de nouveau cette soif de sang. Il en avait abattu quatre de ces monstres, les autres, il ignoraient où ils étaient. Tout ce dont il se rappelle s'arrête là.
Il se réveilla dans un hôpital, un oeil couvert d'une compresse, à son ventre et à sa cuisse aussi. Il voulut s'asseoir, cette pièce blanche le rendait nerveux. Il ne cessait de répéter ; -Violette ! Où est Violette ?! Une infirmière voulu l'approcher pour une prise de sang, pris de folie il rejeta la seringue en l'envoyant valser. -Ou est-elle ?! Il ne cessai de crier, il s'était levé, prêt à s'en aller à sa recherche. Des agents de sécurités le maîtrisèrent l'attachant à ce lit d'hôpital.
Il y resta une semaine.
Il reçut enfin sa première visite, celle d'un commissaire venu rechercher sa déposition. Il était à l'hôpital de la ville du Sud, et il était le seul retrouvé vivant sur les lieux du massacres. Désespéré, il s'imaginait déjà Violette morte retrouvé par un de ces pervers. Il expliquait tant bien que mal tout ce dont il se rappelai, le commissaire l'écoutait attentivement. Il fallu encore deux jours avant qu'il ne revienne. Qu'ils ne viennent plutôt. Il étaient plusieurs, le commissaire adjoints déclara ; -Thomas Baskerville, nous vous soupçonnons de démence. Vous allez devoir rejoindre un centre pour enfant désorientée. Thomas n'en revenait pas, ceci est la justice ? Personne ne croirait donc à son histoire, croyant que victime de démence il avait lui même incendié, violé et tué ? Lui ? Un garçon de treize ans ! Son sang bouillonnait, certes il avoue que la joie qu'il a ressenti en tuant ses monstres étaient malsaine, mais quel justice que d'enfermer un garçon dans un centre pour malade mentale ! -Il y a les corps des monstres sur la place ! Ils y sont ! Six en sont réchappé, je vous en prie croyez moi ! Supplia-t-il en vain. -Je crains que tu n'es halluciné, aucun corps étrangers aux personnes habitants dans ce villages n'a été retrouvé. -Vous vous foutez de moi ! Il arrêta soudain de se débattre, laissant les policiers l'emmené dans son nouveau foyer dénué de chaleur. Il comprit. Exactement il avait reconnu la voix de ces cons lorsqu'il était agrippé à l'arbre. Ils étaient donc dans la police. Rien n'avait de sens quant à la cause du massacre. Rien n'avait de sens. Rien... Rien n'avait de.... Sens... C'est ce qu'il se répétait, durant tout le trajet, son corps semblait sans vie. Il fut raccompagné jusqu'à l'accueil où le monstre de commissaire adjoins le laissa. -Bonjour petit bonhomme, comment t'appelles-tu ? Il ne répondit pas. Elle lui posa encore d'autres questions, il ne répondit à aucune d'entre elle. On le raccompagna jusqu'à sa chambre où il passa deux longues années.
Partie 4 " Rancune "
- Spoiler:
-Je souhaite l'adopter. -En êtes-vous sûr ? Ce garçon est dérangé mentalement et vous savez que... Elle le coupa net. -Ce n'est pas lui ! Je ne le sais que trop bien. Je vous signal que je travaille dans cet asile je le connais mieux que quiconque ! J'ai été sa tutrice durant deux ans. Je le sais incapable d'avoir tué tous ses êtres chers. -Ecoutez madame je ne fais que mon métier, croyez ce que vous voulez cependant cela n'efface pas le crime qu'il a commis. Elle claqua son poing contre le bureau brutalement. -Puisque je vous dis que ce n'est pas lui ! -Croyez ce que vous voulez madame je ne fais que vous mettre en garde. Prenez en compte que vous avez un enfant dans votre foyer et que de toute manière sa condamnation à mort à déjà été prévu pour le 15 juillet de ses 18 ans. -Gardez vos remarques pour vous. Je ne souhaite pas, je veux absolument l'adopter alors donnez moi le formulaire et toutes les démarches administratives pour être sa tutrice légale. Il s'éxecuta, quel folle. Elle s'est entiché d'un fou ! Elle finira morte dans sa propre maison mais qu'importe, la mise en garde à été faite. Il lui expliqua toutes les démarches à suivre, que normalement un cas comme le sien n'est pas autorisé à sortir et devrait être condamné à mort à ses dix huit ans. Elle le savait déjà ça. -Laissez moi au moins lui offrir trois belles années dans sa vie de martyr. Il voulut camoufler son rire lorsqu'elle prononça martyr. Quel ironie ! Il haussa les épaules, ce n'était pas son problème.
Thomas attendait patiemment, la tête contre la fenêtre. Jun était censé revenir il y a plus d'une heure. Il soupira. Qu'est ce qu'il s'ennuyait ici ! Deux années à le traiter comme un fou, à endosser le poids de toutes ses morts, à être déclarer coupable. Les autorités étaient-elles aveugle ? Plus de 200 personnes mortes par les mains d'un seule garçon d'à l'époque 13 ans ? Et Violette... La mignonne petite Violette... Elle devait être morte. Il espérait de tout son coeur qu'elle soit vivante, mais si c'était le cas, pourquoi ne venait-elle pas le voir ? Deux témoins vaut mieux qu'un et peut être croira-t-on enfin son histoire. Cette histoire le hantait. Tout l'avait changé, il se sentait bien seul sans Teo. Il était cependant heureux qu'il ne le voit pas à l'instant tellement il a changé en deux ans. On est le 16 juillet et hier Thomas a eu 15 ans. -Thomas ! Jun accentuait les voyelles de son prénom. Elle lui sourit et lui mit sous le nez un document officiel. Elle ne lui laissait pas le temps de lire qu'elle prit ses quelques affaires personnels qu'elle mit dans un sac et lui fit un grand sourire. -Bienvenu mon fils adoptif ! Il pouffa. -Ton fils ? Qui croirait ça ! Elle grommelait, elle avait 24 ans et était trop jeune pour avoir un fils de 15 ans mais quel importance. -Dans ce cas là mon frère ou tout ce que tu veux ! Quoi qu'il en soit que tu vas vivre avec moi. Son coeur battait à tout rompre, il se sentait soulagé. Jun a été celle qui lui a permis de rester en vie. Une grande amitié avait naquis entre eux. Jun était en stage depuis un an dans cet asile en tant qu'infirmière et trouva un garçon avec un cache-oeil, de longs cheveux noirs cachant son visage dont la mine était si sombre qu'on aurait dit un vampire comme dans les comtes. Elle en avait peur, elle avait entendu tout ce qu'il a fait. Elle y croyait et lorsqu'elle l'a vu, elle en a douté. Tout ce qu'elle voyait était un garçon anéanti avec qui la vie n'avait pas été sympathique. Elle apprit qu'il était croyant dans le passé, il dit à présent que Dieu a abandonné l'être humain car il est désespéré de vouloir sauvé cette race. Elle a demandé de s'occuper de lui, on a d'abord refusé et ensuite accepté face à sa détermination. Ce garçon savait parler, mais lorsqu'il le faisait, il était si indifférent qu'on aurait dit que son âme l'avait quitté. Elle apprit vite à le connaître, il semblait impulsif, déterminé, têtu. Chaque jour, elle le voyait, tentait de lui parler. Et petit à petit, elle apprit à l'apprécier malgré le mordant de ses paroles. Un jour même, elle a réussi à lui couper les cheveux. Il avait haussé les épaules en lançant "Tu me fais chier. Fais le s'il n'y a que ça pour te faire plaisir." Elle prit ça comme une preuve qu'il l'appréciait, car elle savait au fond d'elle qu'il n'aurait jamais céder à qui que ce soit même pour des cheveux. Pas à n'importe qui. Elle était fière, elle découvrit pour la première fois la beauté de son visage et de ses magnifiques yeux couleur d'or, ou plutôt la magnifique couleur de son oeil restant. Le regard perdu, très expressif. Elle comprit pourquoi il gardait sans cesse les cheveux sur son visage, les yeux sont la fenêtre de l'âme et la sienne semblait transparente. Ils montèrent dans la petite fiat de Jun, cette fille souriante qu'il confondait parfois avec sa mère. Il l'apprécie beaucoup. -Je m'appelle donc... Thomas Ashida ? Elle sembla tout d'un coups embarrassée. -J'ignorais si tu voulais ou non garder le nom de famille de tes parents biologiques... Dans le doute j'ai demandé de le laisser. Il soupira de soulagement. Si Violette le recherchait, c'était le seul moyen qu'elle puisse le retrouver. Voilà son premier but ; rechercher Violette. -Merci. Elle sourit de soulagement et mit la clé dans le contact.
Ils arrivèrent devant une petite maisonnette de style rustique. Il prit ses quelques affaires, sa peluche à la main et descendit du véhicule. -C'est un peu petit,mais ça suffira pour nous trois. Elle sourit, encore de ce sourire chaleureux qui lui rappelait tant de souvenirs. Elle vivait avec sa soeur Yume qu'il n'avait d'ailleurs jamais vu. L'entrée donnait directement au salon où se trouvait sa soeur affalait sur le canapé. Elle se leva dès qu'elle entendit la porte se refermait, elle était jeune. Il lui donnait à peine 6 ans. De long cheveux noirs comme sa soeur et des yeux sombres comme elle. Elles se ressemblaient beaucoup à la différence que la petite n'avait pas autant la facilité de sourire. Elle me pointa du doigt. -C'est lui dont tout le monde parle ? Thomas fit un grand sourire et dû s'agenouiller pour se retrouver à la hauteur de la petite. -Et que dit le monde ? Elle prit un air droit et fier. -Il y a plusieurs choses, de un tu aurais tuer tout le monde dans ton village. De deux tu aurais commis cet acte abominable avec tes copains et comme un lâche tu les as abattu. Jun sembla furieuse, son air chaleureux se fit remplacé par un visage déformé par la colère. -Je t'ai déjà dit que ce n'était pas lui ! Elle hocha de la tête. Elle ne semblait pas le moins du monde apeurée et se rassit. Jun s'excusa. -Ne t'inquiète pas pour ça. Elle lui fit traverser la cuisine pour enfin aboutir dans une petite pièce constitué d'un lit, un bureau, une commode, quelques étagères et une fenêtre donnant dans le jardin verdoyant. A la petite parcelle de terre il en déduit qu'elle cultivait elle même. -Je sais que ce n'est pas forcément un super logement mais comme tu le sais c'est tout ce que j'ai pu récupérer. Ses parents sont morts d'un accident de voiture lorsque Yume avait 3 ans. Elles habitaient au Japon et sont partis refaire leur vie en Angleterre, ici même. Ses parents n'étant pas très riche et n'ayant pas prévu leur mort n'avait pas laisser des milles et des cents. Assez pour qu'elle paye le voyage, se trouver un emploi. Au début elle vivait en appartement et peu à peu elle put investir dans cette petite maisonnée. Jun laissa Thomas seul, et lui camouflé son visage dans l'oreiller, son coeur battant la chamade. Hier c'était son anniversaire. L'hier d'il y a deux ans était la veille du massacre. L'aujourd'hui d'il y a deux ans était celui qui marqua l'esprit du jeune homme au fer.
-Thomas, t'es où ? -Où es-tu reprit-il en débarquant derrière son dos. La petite sourit et leva les bras vers le grand garçon. -Porte moi ! Il l'enlaça affectueusement et la pris sur ses épaules. Il était heureux, il passait son temps avec Yume qu'il affectionnait particulièrement, l'emmener à l'école et ensuite suivit les cours que Jun elle même lui donnait ne pouvant pas aller à l'école. Un bracelet électronique à la cheville, les pratiques de polices habituelles. Un an s'est écoulé depuis son arrivé dans cette petite maison et il n'a jamais pu prouvé son innocence, ni retrouver Violette. Et pourtant seul le désir de vengeance et l'amour pour sa soeur le forçait à rester debout. Il devait se presser, dès ses dix huit ans le châtiment s'abattra sur sa nuque et lui déchirera le peu de vie qu'il lui reste déjà dans son corps à moitié mort depuis le 16 juillet d'il y a trois ans. Il ne connaissait personne dans cette ville, rien. Juste cette maison et le chemin de l'école de sa petite Yume. Jun avait quitté son emploi à l'asile pour travailler dans une librairie, lors de son temps libre elle donne cours à Thomas qui lui s'est épris des sciences et en particulier la biologie. Ce qui l'étonna fortement, elle qui croyait que comme il avait vécu un réel massacre le rappel du sang serait une torture. Elle supposait qu'il avait changé sa peur en force, son indifférence et son détachement devait être un système d'auto défense. Le sourire sur ses lèvres se fait tellement rare, un réel sourire, non le factice qu'il lance toujours. Même elle n'a jamais réussi à le faire sourire de joie, seul Yume réussit à le faire sourire comme il ne le fait jamais et le fait rire comme elle n'a jamais su le faire. Il lui avait avoué il y a quelques jours enfin ce qu'il savait sur les six autres hommes. Elle fut choqué de savoir que, à ce moment là, commissaire adjoints et deux de ses policiers en faisait parti. Des défendeurs de la justice, tu parles ! S'exclamait-il. Depuis, elle cherche. Ils ont bien dû enterrer les 4 hommes quelques parts, mais où ? Et serait-ce seulement une preuve suffisante ?
" Jun m'avait laissé son ordinateur pour la journée. Je tentai vainement de recherchai encore Violette. Et ces pourritures vivant tranquillement ... Le temps passaient trop lentement tout en étant rapide, plus que deux ans avant ma mort. Trouver Violette et mon seul espoir de rétablir la vérité, elle est aussi la seule chose qui me tienne à coeur et qui reste de cette barbarie. Je n'arrête pas de pensé à cette lettre que je n'aurais jamais lu, à mon père qui était censé passé cette fameuse journée avec moi. A Teo qui ne méritait certainement pas cette douloureuse mort. Qui restait-il ? Y avait-il seulement des survivants ? Je continuai d'espérer, mais dans ce cas pourquoi ne se manifestait-il pas afin de prouver son innocence ? Peut être ont-il fuit en croyant tout le monde mort. Et ma Violette... Ma précieuse Violette, que restait-il d'elle, était-elle seulement en vie ? Ses questions m'obsèdent depuis ce jour. J'ai l'impression que le temps s'est figé, j'ai quitté mon enfance pour céder à une adolescence noire et ensuite à être un adulte... Mort. Je laissai ma tête retomber sur ce clavier que j'ai appris à utiliser que récemment, notre village étant vraiment figé dans le moyen-age. Aurait-elle seulement évoluer si ce n'était pas arrivé ? Tant de questions me taraudent et dont, pour certaines je n'aurais jamais les réponses. Je suis parti chercher Yume à l'école vêtit d'un sweat à capuche que je rabattais dès ma sortie de la maison. Elle prit du temps à me voir, et lorsqu'elle me vit son visage s'illumina. Cette petite poupée est tout ce que j'aime maintenant, l'amour que je devais donné à ma soeur ne pouvant pas lui donné, je l'offrais à cette petite fille. Nous rentrâmes à la maison. -Tu ne veux pas jouer avec Delia ? Elle haussa les épaules. -Je préfèrerais rester avec toi. -J'ai quelque chose d'important à faire. Quelque chose que je demande depuis longtemps et qu'on ne m'a jamais permis. -Et aujourd'hui oui ? -Aujourd'hui si ce n'est pas le cas j'irai tout de même.
Elle partit chez sa voisine et j'attendis impatiemment l'arrivée de Jun. A peine fut-elle rentrée que j'étais déjà en face d'elle. -Où est Yume ? -Elle est chez la voisine. Elle posa son sac plantant son regard droit dans le miens. -Qu'est ce que tu veux ? Je ne pris même pas la peine de sourire pour formuler ma demande, j'en étais bien incapable. Aussi détaché puis-je paraître en parlant de ce drame, autant je ne pourrais jamais en sourire. -Je veux retourner dans mon village. Elle secoua la tête, me croyant trop fragile. J'haussai les épaules et sortit de moi même. Obligé de me suivre, à chaque sortie en dehors du territoire obligatoire que m'a imposé la police, elle devait être avec moi. Elle me suivit en criant mon prénom. Ma démarche était déterminé. Je n'y étais plus retourné depuis. Après les 8 kilomètres parcourut, mon coeur battait à vive allure, j'avais les mains moites. Je n'allais sans doute rien découvrir qui puisse me faire avancer mais qu'importe dans le fond, il fallait juste que je vois. Le téléphone de Jun sonna, je soupirai. -Ils appellent seulement maintenant ? Elle hocha la tête et décrocha. -Oui... Oui il est avec moi... Je vous le passes. Elle me tendit le téléphone, si c'était ce salop de commissaire quel culot ! Je le pris sans hésitation. -Quoi ? -C'était juste pour m'assurer que vous vous trouviez bien avec votre tutrice. Que faites-vous là bas, vous voulez voir de vos yeux votre crime ? La voix à l'autre bout du fil n'était pas amicale, elle se foutait de moi. -Vous êtes le commissaire Dorian, c'est bien ça ? Il ne répondit plus, le silence ce fit à l'autre bout du fil. -Quel connard vous faites. Je suis plutôt venu revoir ce que vous et vos débiles de copains avaient commis. Le commissaire riait à l'autre bout du fil. -Le problème mon cher Thomas est que vous soyez le seul... Survivant ? Il rit de plus bel et raccrocha. Jun me regardait de son regard de grande soeur inquiète. Elle voulut me dire quelque chose, mais n'osa pas. J'avais du mal à camoufler mes émotions, et j'ai bien peur qu'elle ait déjà remarqué ce détail. Mes poings serrés je repris le chemin vers mon village.
Mon coeur se resserra, nous nous trouvions sur la place du village. Jun attristé par le restant des maisons détruites, en cendre. Le grand saule était toujours là, quel ironie. Lui aussi avait réchapper au massacre. Mes yeux s'embuèrent, Jun crut que c'était l'ambiance morbide qu'émanait le village, elle comprit alors que c'était tout autre. "
Une croix en bois, voilà ce qui perturbait Thomas. Une croix en bois simplement... Sur laquelle était gravé "Thomas". Au pieds de celle ci, des roses noirs séchées. Et une peluche. Le garçon se mit à genoux devant, non ému par cette croix, plutôt par les mains qui l'ont faite. Il eut du mal à réprimer ses pleures, aussi bien qu'une seule larme coula sur sa joue gauche. Jun s'agenouilla à ses côtés et plaça une main bienveillante sur son épaule. -Il y a quelqu'un d'autre que toi qui a survécu. Si on la retrouve et qu'on la persuade de témoigner pour toi on a une chance pour semer le doute et gagner ton innocence. Elle était optimiste cette Jun. Mais il sourit, elle fut surprise, était-ce elle qui avait enfin réussit à ce qu'il ait un vrai sourire ? Elle en doute. -Si ça ne t'ennuie pas, je vais rester un peu. Il se leva, elle le suivit. Il ne disait plus rien, allant vers un petit bosquet. De là, il recherchait quelque chose, regardait autour de lui. -Tu cherches quelque chose ? Il n'arrivait pas à se souvenir... Où était-ce ? Ils avaient marqué l'arbre... Mais de quel signe déjà ? Il marchait, observait, la tête vers les feuillages. -J'ai trouvé. Nul besoin de chercher un signe gravé sur le tronc, la corde pendait de la petite cabane. C'était logique, Violette n'avait pas pu la remonter toute seule et avait dû la laisser. Il serra la peluche qu'il avait pris au village contre lui et grimpa le long de la corde. Jun voulut le suivre, elle ne se sentait pas bien dans cet endroit souillé. Une fois en haut, il sourit encore une fois. -Je vais l'attendre ici. Tu peux partir si tu le souhaite. Je pense qu'elle reviendra. J'espère, je le sens. -De qui parles-tu ? -De Violette. Elle n'avait jamais entendu parler de Violette, et elle ne pense pas qu'elle ait pu oublier. Il n'avait pas parler de cette "Violette", jamais, elle s'en serait souvenu. -Qui est Violette ? Il sourit de la savoir vivante, il se sentit apaisé, un sentiment qu'il n'avait plus eu depuis si longtemps. Il était sûr que Violette repasserait, il le sentait.
Jun s'endormit dans un coin de la cabane, elle n'avait pas voulu le quitter. Elle avait envoyé un message à la voisine si elle pouvait garder Yume pour cette nuit. Thomas regardait frénétiquement par la porte, à l'affut du moindre bruit. Ils attendirent jusqu'au petit matin avant qu'enfin, des bruits de pas se fit entendre. Thomas descendit aussitôt, cherchant la provenance des bruits de pas. Il se mit à courir vers la place, laissant Jun endormit dans la cabane perchée. Une petite fille d'à peine 11 ans semblait figé devant la croix, la peluche ayant disparu elle comprit aussitôt. Il vit ses longs cheveux noirs, elle se retourna, elle tremblait devant le grand garçon. Elle le reconnu grâce à ses yeux d'or, ses cheveux noirs ébouriffé dont une mèche tombait sur son oeil droit. Elle remarqua son bandeau à l'oeil, elle s'était imaginé cent fois la scène de leur retrouvaille et pourtant ce n'était pas comme elle l'avait imaginé. Aucun des deux n'émit un son pendant cinq longues minutes, Thomas céda à la joie des retrouvailles et prit sa soeur dans ses bras. Il prononça son nom entre deux sanglots, elle non plus, n'a pas pu s'empêcher de verser des larmes. Jun arriva, ses cheveux en bataille et des cernes sous les yeux. Elle vit la petite fille, une si jolie petite fille. Elle se demandait si elle aussi, avait vécu le massacre. -Thomas ... ? La petite eut une hésitation, il ressemblait à son frère et à la fois non. Il était beaucoup plus grand, il semblait aussi beaucoup plus fort. Non, son frère à elle était un garçon fragile, pas très grand, avait ses deux yeux et il était peureux. Ce garçon devant elle ne ressemblait en rien à son Thomas. Elle qui était plus petite que son frère était celle qui le prenait dans ses bras pour le réconforter, elle qui lui disait d'être plus fort. Mis à part ce jour où il a fait preuve de tant de courage qu'il n'en avait jamais fait preuve. Pourtant il lui ressemblait... C'était consternant. Il lui sourit. -Oh Violette ! Je désespérais de te retrouver ! Tu as tant grandi ! Comment as-tu survécu ? Violette se sentait heureuse de le revoir, et un autre sentiment en opposition à celui-ci, la rancune. -Je t'ai attendu. Je n'ai fait qu'attendre. Tu m'as laissé seule et tu n'es jamais revenue. Dans sa voix se manifestait de la rage, Thomas s'en est toujours voulu de ne pas avoir pu revenir. Il tenta de lui expliquer mais la petite ne voulut rien savoir. Elle se leva. -La peluche est bien de moi et la croix aussi car pour moi mon frère est mort. Les fleurs, je ne sais pas de qui elles sont. Et elle partit sur ses mots.
Partie 5 " La belle Elena "
- Spoiler:
Qui se cache derrière ce personnage ? ♪ • Prénom : Maya • Âge : 15 ans • Présence sur le forum : Régulière • Si tu as bien lu le règlement, mets le code qu'il contient : Code bon Kaname. • Est-ce ta première expérience en RP ? : Non mais je n'ai plus fait de rp depuis je crois 1 an xd • Où as-tu connu le forum ? : Forumactif, je voulais me relancer dans les rp et Vampire Knight a été le premier que j'ai regardé et lu donc c'est pour ça que je m'y suis intéressé
Codage by Bonbon013 edit by Aiko Oguri
Dernière édition par Thomas B. Ashida le Mar 1 Mar - 18:19, édité 12 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Sam 27 Fév - 23:05 | |
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Salutations~♥ Soyez le bienvenue au forum, Ashida-sensei ! Je vous souhaite bon courage pour finir votre dossier d'inscription. J'espère que vous vous plairez parmi-nous.
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| | | Tôga Yagari♠ Admin ♠
Messages : 559 Points d'expérience. : 274
Feuille de Personnage Double-compte : | Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 0:28 | |
| Bonsoir, bienvenue à toi, le deuxième est caché dans le texte c'est pour ça xD |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 10:19 | |
| ah oui xdd :totalementaveugle: Merci |
| | | Tôga Yagari♠ Admin ♠
Messages : 559 Points d'expérience. : 274
Feuille de Personnage Double-compte : | Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 10:34 | |
| Pas de soucis ! J'aime beaucoup l'avatar de ton perso en tous cas ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 15:49 | |
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| | | Yona HioVampire de sang pur
Messages : 273 Points d'expérience. : 160
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 17:52 | |
| Bienvenue sur le fofo ! ^^ Pour l'instant il n'y a que deux partie à ton histoire mais elle est affreusement triste et très bien écrite ! J'espère qu'il n'est rien arrivé à Violette pendant ce temps... Bon courage pour écrire la suite ! Je suis très curieuse de savoir comment la suite va se dérouler... |
| | | Kagame YagariHumain
Messages : 184 Points d'expérience. : 74
Feuille de Personnage Double-compte : Kaien Cross | Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 20:44 | |
| Haaaaai ! Bienvenue, jeune padawan ! Espérons que tu te plaises ici, mais normalement ça devrait aller, on mord pas -Enfin, pas moi en tout cas...- Un new hunter dans l'école ! Chouette ! Allons taper du vampire ensemble un jour ! Bref, tu peux taper du vampire ou du mauvais élève quand tu veux, avec qui tu veux, et je te souhaite de nombreuses occasions de le faire ! En gros, plein de RP's. Ton histoire m'a retourné le ventre. C'est hyper prenant, ta façon d'écrire est incroyable ! Elle est pas finie, dis ? Dis ? |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Dim 28 Fév - 21:08 | |
| Merci pour l'accueil Tôga Yagari : Merci mais vu que je ne suis pas douée pour la création de vava j'ai surtout de la chance que l'image est superbe Yona et Kagame -> Merci ça fait longtemps que je n'avais plus écrit d'histoire de ce genre j'avais un peu peur du résultat. J'espère l'avoir fini pour mercredi et je pense que ça ira puisque j'ai déjà bien entamé la partie 4 |
| | | Kaname Kuran☼ Fondatrice Président de la Night Class ☼
Messages : 273 Points d'expérience. : 206
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Mer 2 Mar - 16:53 | |
| Bienvenue à toi ! Le code est bon j'ai hâte de voir la suite de ta présentation et j'ai juste une question tu préfères être professeur de la Day ou Night classe du coup ? ^^ |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Jeu 3 Mar - 19:44 | |
| Merci, et il sera professeur de la day-class. Je vais sans doute supprimer le fait qu'il soit hunter car avec son histoire, je trouve que ça fait un peu trop. |
| | | Yona HioVampire de sang pur
Messages : 273 Points d'expérience. : 160
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Jeu 3 Mar - 21:11 | |
| Et bien, la suite de l'histoire est plus horrible que ce que je ne le pensais... J'avoue être curieuse sur le dernier chapitre, notamment sur cette fameuse Elena '.' Et c'est toujours aussi bien écrit, facile à lire sans être lourd et de plus c'est passionnant ! Bon courage pour la suite ^^ D'ailleurs j'ai une... deux questions ! Avant tout, les images de Thomas sont tirés de quels manga/jeu ? Oui... suis très curieuse XD Et finalement, je réagis à son nom, "Baskerville". Mon autre personnage, un (vieux) hunter anglais prof d'histoire de la Day Class, s'appelle justement (James) Baskerville ! (Je me suis inspiré du "Chien des Baskerville" d'Arthur Conan Doyle pour son histoire ^^) Coïncidence ? XD |
| | | Tôga Yagari♠ Admin ♠
Messages : 559 Points d'expérience. : 274
Feuille de Personnage Double-compte : | Sujet: Re: Thomas B. Ashida Jeu 3 Mar - 21:18 | |
| Je crois qu'on va découvrir un lien de parenté entre ces deux là xD |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Thomas B. Ashida Ven 4 Mar - 19:08 | |
| J'ai marqué Baskerville dans l'histoire ? Dans ce cas là il faut que je fasse une petite correction car c'est Blackwall (tiré du nom d'un personnage dans un jeu vidéo) En ce qui concerne le personnage représentant Thomas c'est Mitsutada de Touken Ranbu Et pour clôturer, le dernier chapitre tardera un peu car je n'étais pas satisfaite, je l'avais fini hier mais j'ai tout effacé. De ce fait je recommence ce soir ou demain |
| | | | Sujet: Re: Thomas B. Ashida | |
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| | | | Thomas B. Ashida | |
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