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 ~Le majestueux camélia et la frêle pivoine [remake]~ [x Sumire]

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Yona Hio
Vampire de sang pur
Vampire de sang pur
Yona Hio
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MessageSujet: ~Le majestueux camélia et la frêle pivoine [remake]~ [x Sumire]   ~Le majestueux camélia et la frêle pivoine [remake]~ [x Sumire] EmptyDim 27 Oct - 0:11

Les températures adoucies de ce mois de mars naissant annonçaient l'arrivée d'un printemps prochain. Le vent chaud qui caressait la joue de Yona en ce début de soirée contrastait avec la brise glaciale qui avait accompagné son départ de l'académie vers le milieu de décembre. Le printemps était une saison de renouveau, mais pourtant la délicate créature ne parvenait pas à se réjouir de ces temps favorables. Les fleurs commençaient à éclore, les bourgeons devenaient des feuilles robustes,  l'herbe brûlée par le gel reprenait une couleur vivante, mais le cœur de l'héritière de Shizuka restait aussi aride qu'un raisin sec. Autrefois, Eole agitait délicatement ses courtes mèches et son regard doux se posait sur un monde qui lui promettait encore des possibilités d'avenir heureux, mais à cet instant précis, les iris améthystes de la jeune femme étaient aussi dures que du cuir tanné. Mais c'était la vie qui s'était chargée de la durcir par un coup net et précis, pour couper ses derniers liens affectifs et la pousser à prendre ses responsabilités.
Elle avait cru de toute son âme qu'une idylle entre un chasseur et une sang-pur était possible, que c'était une promesse de paix en devenir. Pourtant, malgré les mots si doux de Tôga, malgré ses paroles rassurantes, il avait réussi à perdre définitivement toute confiance et même toute estime de la princesse des Hio. Il n'y avait pas eu de non-dits, de rumeurs qui puissent semer le doute. La réalité brutale s'était chargée de lui faire éclater la vérité au visage. Ses propres yeux s'étaient posés sur son amant dans les bras d'un autre, une autre personne que Yona avait pensé de confiance.
Kaien Cross.
Mais les rôles s'étaient inversés, elle l'avait immédiatement compris. Elle n'était pas l'être trompé pour un autre, mais celle qui avait occupé le rôle de maîtresse durant tout ce temps. Ignorante et naïve jeune fille élevée dans un château. Elle avait joué avec le feu, mais son audace d'aller à l'encontre de la nature s'était retournée contre elle. Aujourd'hui pourtant, après des semaines de réclusion dans le domaine de son oncle, Akira Hio, elle accédait aux injonctions du chef de clan et se rendait au lieu qu'il lui avait indiqué.
Yona avait trouvé refuge dans le domaine maternel après sa fugue imprévue de l'Académie Cross afin d'éviter un massacre à cause de ses émotions instables. Ce soir là, la jeune femme avait fait le voyage par ses propres moyens pour regagner la maison mère des sang-purs sauvages. Le frère aîné de sa mère avait été plus que surpris de la voir échouée à ses portes, mais l'avait fait aussitôt prendre en charge. La fuyarde s'était laissée faire même si cela scellait son destin : en retournant entre les murs des siens, elle acceptait de se plier aux règles du patriarche et de devenir l'une des leurs. Finie l'indépendance loin du Sénat, finie la liberté, discipline et prestance allaient devenir les nouveaux mots d'ordre surtout qu'elle leur faisait déjà honte en portant une progéniture conçue hors-mariage alors qu'elle était fiancée au Lord Shizuku Tôma depuis sa naissance.

Durant une longue période qui se comptait en de nombreuses semaines accumulées, Yona n'avait accepté aucune visite et s'était contentée de rester enfermée dans les appartements du palais qui lui avaient été attribués, se laissant vivre au gré des missions des domestiques qui devaient s'occuper d'elle. Il avait fallu une visite de son oncle en personne pour la faire réagir et la pousser hors des murs protecteurs de sa nouvelle antre. La sang-pur avait protesté sans motivation, mais Akira était certes un homme pacifiste mais ferme et il avait eu le dernier mot en lui rappelant les devoirs que son rang royal incombait. Celle qui fut jadis la pire sauvageonne du monde vampirique avait désormais besoin d'une éducation adéquate, mais Akira savait qu'aucun Hio ne parviendrait à obtenir quelque chose de la princesse écarlate. Ils étaient trop enfermés par les traditions. Il fallait une personne libre qui se comportait en reine tout en profitant dans la vie. Une âme emplie de joie de vivre et qui chérissait son existence à bras ouverts tout en imposant le respect avec grâce et beauté. Or Akira connaissait la parfaite personne qui s'était libérée des chaînes que le nom des Hio lui avait imposé.
Isanami Shoto était sans nul doute la personne la mieux placée pour faire de la jeune rousse une véritable dame apte à fleurir dans cette infâme société.
Cette charismatique personnalité avait été mariée au chef des Hio durant un temps avant d'être répudiée pour infertilité après mille ans de mariage malgré l'amour qui lui vouait son ancien époux. Akira ne s'était jamais remis de ce divorce forcé, mais Isanami avait réussi à prendre son existence en main et avoir une magnifique revanche en mettant au monde une petite fille. Aujourd'hui, la beauté fatale de Sumire Hojo, l'enfant bénie, n'était un secret pour personne. Certes, l'être miraculé n'était pas de sang-pur, mais elle en possédait toutes les qualités et la réputation. Et plus que tout, elle rendait Isanami heureuse.
Si Yona était déçue d'un quelconque amour, Akira espérait que les âmes qui grandissaient en son sein sauraient lui rendre goût à l'existence.
Isanami Shoto était l'exemple rêvé : sublime mais puissante, libre mais respectée voire même crainte par certains aspects. De plus, le trésor des Hojo possédait le même âge que sa nièce indocile, aussi le frère de Shizuka espérait-il qu'un contact constant avec ces deux femmes hors-normes parviendrait à inculquer une poignée de principes à la détentrice des boucles écarlates.  

Pour cette raison, Yona contemplait désormais l'imposant manoir qui lui faisait face . Le jardin français qui bordait l'allée principale indiquait déjà la richesse et l'influence de ses propriétaires. Tout était ordonné, parfaitement taillé, pas la moindre petite branches dépassaient des massifs floraux organisés avec soin et une connaissance parfaite. L'Académie était bien entretenue, mais pas avec la minutie extrême qui semblait être une caractéristique du domaine qui lui faisait actuellement face.
Escortée par Subari Kurenai, un lointain cousin des Hio et de la fameuse Maria Kurenai, la demoiselle avança avec lenteur et gravit les larges marches de l'escalier qui menait à la porte d'entrée taillée avec art. Avec une réflexion aussi bien ironique que curieuse, la nièce d'Akira se demanda si tout n'était pas de marbre, mais cacha bien tout pensée derrière un visage impassible. Elle ne pouvait se montrer sarcastique alors que la maîtresse des lieux avait accepté de la recevoir après une requête personnelle de l'oncle de la juvénile sang-pur. Vêtue d'un kimono traditionnel mais néanmoins pas d'apparat, faiblement chargé donc pour faciliter ses mouvements, Yona usa elle-même du heurtoir au détriment de son accompagnateur. Ce dernier ouvrit la bouche pour contredire son geste, mais un regard froid de la concernée l'en dissuada. L'intéressée porta ensuite ses prunelles violines sur le bois massif de la porte, attendant que l'on vienne les accueillir.
Elle était certes un phoenix touché en plein vol et déchu, mais elle possédait toujours de flambants élans d'indépendances et comptait bien le montrer au monde.
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Sumire Hôjô

Sumire Hôjô
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MessageSujet: Re: ~Le majestueux camélia et la frêle pivoine [remake]~ [x Sumire]   ~Le majestueux camélia et la frêle pivoine [remake]~ [x Sumire] EmptyDim 27 Oct - 12:15

Aujourd'hui , il n'y avait même pas de mot pour exprimer la profondeur de ses regrets et la noirceur de sa douleur .
"Pour l'amour d'une Beauté vous céderez vos terres et vos couronnes" •••
Assise sur la commode claire qui habillait cette chambre trop grande pour une seule personne, Hojo Sumire regardait le soulèvement subtile des ailes du nez de Sachie.

Elle ne prononçait pas un seul mot, n’émettait pas le moindre son. Chose qui n'étais pas rare en sois, la demoiselle en question était de nature plutôt introspective, ou peut-être qu'il lui était pesant de parler avec des êtres qu'elle n’estimait guère. C'était dur a dire, surtout parce qu'elle ne donnais jamais de justification sur son comportement, probablement parce qu'elle n'avait a rendre de compte a personne.  Ni de responsabilité et qu'à la fin quelqu'un prendrai sur lui la totalité du désordre ambiant et alors on en parlerai plus .

Sachie, par exemple travaillait dans la maison du clan Hojo depuis quatre ans déjà, au service exclusif de la petite demoiselle de la maison.  Elle ne comptait plus le nombre de punitions qu'elle avait accumulée à cause de cette dernière depuis qu'elle était entrée dans cette demeure.  Elle se souvenait pourtant de l'honneur que cela avait été pour elle d'entrer  dans cet endroit.  « Le Clôt des Orchidée » n'était pas un endroit ou l'on pouvait se rendre sans qualifications a première vue et quand elle avait postulé, la femme s'était attendue a un refus clair et net.  Elle n'avait même pas été reçue directement par ses employeurs mais par le fils de ces derniers.  Il l'avait sondée en silence , s'était passé de lui poser des questions, tout s'était en silence.   Elle avait été habituée a être le prédateur, mais pour la première fois, Sachie s'était sentie une proie.  Elle apprendrai par la suite et a ses dépends que ce ne serai pas la dernière.  

Ici, elle était au plus bas de la chaîne alimentaire et , si , la délicate fleur sauvage dont on lui avait confié l'entretient jouissait de la réputation d'une blancheur immaculée, une pureté d'âme qui pouvait rendre fou, elle avait depuis lors eu l'occasion d'entrevoir la dangerosité d'une fragrance aussi entêtante.

« Honnêtement, Miss Sachie, je ne me soucie pas réellement que vous surviviez ou que vous mourriez dans cette demeure. Vous pourriez même vous suicider par détresse, que ça ne sortirai personne ici de sa torpeur. Non, la seule chose qui m'intéresse c'est de savoir si cela plairai et divertira notre petite Princesse. »

Avec du recul, elle se disait qu'elle aurai du prendre au sérieux cet avertissement. Qu'un employeur capable de dire de telles choses sans sourcillait était forcément quelqu'un a fuir absolument, mais elle en avait été incapable a l'époque.  Fusse par ce que le propre charme du garçon , Susumu , avait opéré sur elle ? Parce qu'il avait usé de quelque magie sur elle ?  Probablement même pas. C'était plus pernicieux que cela. Bien plus. Maintenant Sachie le savait : c'était par cupidité.  Travailler chez les Hojo n'était pas seulement synonyme de bon salaire mais surtout d’assertion sociale. Sachie ne manquait de rien mais pour son malheur éternel, elle avait voulu être reconnue.  Aujourd'hui , il n'y avait même pas de mot pour exprimer la profondeur de ses regrets et la noirceur de sa douleur .

Parce que contre toute attente, son bourreau n'était ni ce jeune lord, ni encore les parents de ce dernier. Pas ses propres supérieurs hiérarchiques mais bien la jeune Maîtresse de la maison.

Hojo Sumire.
Elle était aussi délicate et menue qu'une fleur d'aconit et aussi mortelle qu'une de ces dernière.  Et son regard et sa crinière emportaient avec elle les mêmes teintes surnaturelles et les mêmes fragrances entêtantes. Sachie l'avait regardée trop longtemps. Elle ne savait plus quand , mais a un moment, cette beauté avait pénétré dans son être a travers ses yeux et attisé en elle le feu de la jalousie, de la haine et une grande peur. Ça la pourrissait de l'intérieur comme un mauvais champignon et elle n'arrivait pas a se défaire de ce sentiment d'une brutalité inouïe. Quelque part entre l'adoration et la répulsion.

Elle ne pouvait plus la voir. Elle avait l'impression qu'elle finirai par en crever.
Ce n'était même pas mourir.
Il ne restait plus assez de dignité dans son être pour mériter un tel terme, non c'était quelque chose de beaucoup plus primal. Trivial et sale.  crever.

« Un jour, mon Oncle Saga, m'a emmenée voir ses chevaux, quand ils sont en colère leurs naseaux font exactement le même mouvement que non nez. Mais il font un bruit plus agréable que toi. »

La petite voix suave de la jeune fille avait enfin raisonné dans la chambre et figé la pièce dans un autre espace temps. Il était là. Le point de non retour.  Maintenant debout sur la  commode  dans ses chemises de nuit toutes de soie colorées, pieds nus, même pas coiffée, elle dardait un regard remplis de défis sur la jeune femme de chambre.   Son pied menu avait  poussé lentement un premier bibelot de cristal , l'envoyant se briser au sol dans un tintement qui paru assourdissant a cause sans doutes du silence général de la demeure.

« Mademoiselle . Soyez raisonnable.  Ce n'est pas parce que vous semblez au dessus de toutes les règles qu'il n'y à pas quelqu'un qui paie par la suite ...veuillez vous habiller...et assister a vos cours ..  »

A un moment donné, Sachie avait compris qu'elle aurai seulement du accepter son destin et se taire. Pourquoi est-ce qu'elle en avait été incapable ? Parce ce jour là elles étaient seules dans la maison ? Ni le couple parental, ni le frère n'étaient dans la place et seules demeuraient Sumire, ses suivantes , Rasen la nourrice et enfin, Sojo Maeda, garde du corps et bras droit du maître de maison ? Peut-être qu'elle avait pensé tors que rien ne pourraient arriver.

Avec une grâce a lui donner la nausée, la princesse avait  bondit de son perchoir et  posé ses pieds délicats sur les reliquats du cristal brisé. A quel point devait-elle être insensible ou ennuyée pour ne pas montrer la moindre émotion face a la douleur que ce devait être de s'ouvrir de la sorte. Il y avait cette enfant, et depuis toujours quelque chose de profondément malsain, de morbide et de sauvage. Sans un bruit son regard s'était seulement porté sur  le sang qui coulait et s'épandait lentement sur le sol et il y avait dans ce regard une certaine fascination. Enfin, Sachie l'avait aperçu. Ce petit sourire en coin.  Mais avant d'avoir le temps de comprendre ou de se reprendre l'odeur de ce sang avait attaqué sa gorge et son esprit avait cessé de fonctionner convenablement. Prise dans une brume rouge et elle avait bondit.

Ah, oui.
Car comme ses employeurs et le personnel de cette maison, comme la jeune demoiselle.
Sachie était un vampire.

Mais si elle se contentait d'être un vampire de bas rang, Sumire Hojo portait sur elle le sang rare et précieux d'une famille noble et surtout portait pour moitié le sang d'une des familles les plus anciennes et les plus pures de leur race. Du sang royal.

Délicieux, rare et interdit mais a rendre fou.

Issue d'un métissage rare, Hojo Sumire était un trésor, une intouchable.
Et si ce croisement surnaturel apportait un pouvoir considérable , il était également la cause de la claustration et de la maladie qui rongeaient lentement la demoiselle. Lentement. Sûrement. Trop lentement pour qu'elle n'ai pas le temps de les mener tous a leur perte avant sa propre mort. Et Sachie n'était pas la première victime.

Quelques centimètre.
Seulement quelques centimètre la séparaient de la  gorge presque offerte de la princesse Hojo qui n'avait même pas fait mine de fuir, ou de crier. Rien. De toute façon Sachie n'atteignit jamais sa cible. Coupée en plein vol par l'apparition subite de la seconde créature la plus haut placée dans leur hiérarchie de classe, qui l'avait saisie par la gorge et vidée de son énergie , la laissant tomber inconsciente au sol.

Sojo Maeda.

« Rasen, faites nettoyer ce bazar ...Quand a vous ...asseyez vous... on va soigner  ...ça, si votre grand père entend parler de cela, tous le monde ici aura des ennuis. »

Sumire avait soupiré et  une fois installée avait laissée la level B laver ses pieds et retirer les éclats de verre qui s'y étaient logés. Peut-être parce qu'elle veillait sur les intérêts du couple et des enfant depuis toujours, peut-être parce qu'elle était la maîtresse favorite du maître de maison ou peut-être encore parce qu'elle n'avait pas une force avec laquelle on pouvait facilement traiter, Sojo avait toujours eu une autorité manifeste sur les deux enfants terribles des Hojo.  Et si Sumire la respectait, l'aimait même probablement beaucoup, elle s'était plusieurs fois laisser aller a avouer qu'elle en avait peur.

«  Mettez au moins de l'ordre dans vos cheveux si vous ne voulez pas vous habiller, enfant sauvage. »

Avec une caresse tendre dans les cheveux camélia de la demoiselle, elle s'était apprêtée a ajouter quelque chose quand leur heurtoir avait raisonné dans la maison et l'aura d'au moins un sang pur étranger à leur cercle familial s'était fait sentir.   Lui intimant l'ordre de rester cachée , c'était la brune qui était descendue ouvrir la porte avec une certaine méfiance.  Elle n'avait pas été prévenue de l'arrivée de qui que ce soit et dans cette situation elle ne serai pas suffisante pour faire face a un Sang-pur en colère s'il en avait après la petite maîtresse.

L'ambre brûlant de ses yeux rencontra la pourpre d'un regard adolescent.  Elle savait qu'il fallait se méfier de l'apparence des sangs pur mais il n'en existaient pas tant. Pas assez pour qu'elle ignore qui  pouvait être cette jeune femme.  Sans fléchir elle avait également analysé l'accompagnateur avant de s'incliner avec le respect qu'elle devait. Il n'était pas nécessaire de vexer immédiatement la Sang-pur.   Se redressant elle s'était tendue en remarquant qu'elle n'avait pas été obéie et que dans l'escalier qui donnait sur le hall, se trouvait la petite recluse.

«  Puis-je savoir ce qui nous vaux l'honneur d'une telle visite ? Mon nom est Sojo, j'administre cette maison en l'absence de mes maîtres. Si je suis prête a laisser son Altesse entrer, sachez qu'aucun mâle n'est admit dans l'enceinte en l'absence de ces derniers. Un accident arrive vite, dans ces lieux. »

Elle ne commettrais pas deux fois l'erreur de laisser un homme qui qu'il soit approcher de Sumire.  Que ce soit volontaire ou non, on ne pouvait jamais savoir quand elle finira par déclencher une catastrophe qui serai irréversible.
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